COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Anne Genetet lance « Le SURSAUT » avec un premier colloque sur les rythmes scolaires intitulé « Refonder l’École par le temps » le 12 juin 2025.
En 2025, l’École de la République est à un tournant. Elle demeure notre bien commun le plus précieux, mais reste fragilisée. Malgré les réformes engagées, du renforcement des fondamentaux à la lutte contre le harcèlement, les inégalités persistent et la confiance reste à reconstruire. Face à ce constat, Anne GENETET, députée et ancienne ministre de l’Éducation nationale lance « Le SURSAUT », une série de quatre colloques parlementaires pour redonner sa force à l’École.
Conçus comme des espaces de travail collectif, de débat sincère et de confrontation d’idées, ces temps visent à réunir l’ensemble des acteurs de la communauté éducative : des élèves et de leurs parents aux enseignants, en passant par la diversité des métiers de l’Éducation nationale et les scientifiques. Un moment pour écouter ceux qui agissent, s’inspirer des réussites concrètes et formuler des propositions fortes, partagées, susceptibles de transformer sans tabou notre système éducatif.
Le colloque « Refonder l’École par le temps » du 12 juin 2025 est le premier d’une série : il ouvre un cycle de réflexion et d’action pour transformer notre système scolaire avec ambition, lucidité et courage. À travers les temps d’apprentissage, les rythmes scolaires, le calendrier et leur articulation avec la vie périscolaire, il s’agit de repenser l’ensemble de manière cohérente afin de mieux répondre aux besoins réels des élèves, des enseignants et des familles.
Organisée en deux temps, la journée du colloque permettra :
● Le matin (10h) “La Classe” : un moment de classe consacré à la construction et au débat de propositions composé d’élèves, de parents d’élèves, d’enseignants et de membres de la communauté éducative.
● L’après-midi (14h-18h) : 2 tables rondes avec des experts et la restitution, la mise au débat des propositions construites sur la matinée. Seront croisés les apports des neurosciences (INSERM, Conseil national de l’Éducation), des retours d’expériences de collectivités, d’enseignants, de parents d’élèves, un éclairage international avec le réseau AEFE et le modèle finlandais et surtout la voix des élèves, des parents et des membres de la communauté éducative.
