À l‘occasion de mon déplacement du 8 au 10 janvier à Hong Kong, j’ai eu un entretien avec le Petit Journal de Hong Kong. 

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Députée du groupe Renaissance à l’Assemblée, vous participez aux votes sur les projets nationaux, ainsi qu’à la commission sur les forces armées. Mais comment maintenez-vous le lien avec Français de l’Etranger et répondez-vous à leurs attentes ?

Je suis député d’une circonscription qui comprend 49 pays dont 40 avec une présence française avérée. Celle-ci a tendance à diminuer sous l’effet du Covid. La mission d’un parlementaire est de travailler sur la loi, ce qui induit une forte présence parisienne. La communauté qui m’a élue a des attentes mais les institutions françaises à l’étranger sont surtout représentées par nos consulats qui me font remonter les informations et les disfonctionnements. Pour améliorer la situation, c’est à Paris que cela se joue, d’autant qu’en situation de majorité relative, il faut être présent sur un maximum de votes. Ceci dit je suis heureuse de reprendre le contact en personne avec Hong Kong, même si les outils numériques permettent de communiquer tout au long de l’année.