Depuis 2017, la majorité œuvre en faveur des Français les plus modestes, pour lutter contre l’assignation à résidence et permettre l’émancipation de chacun et chacune. L’égalité des chances est une priorité du Gouvernement et de la majorité depuis le début du quinquennat sur différents plans.
La lutte contre les discriminations
- La lutte contre toutes les formes de violences faites aux femmes – politiques, économiques, et sociales
- L’index d’égalité professionnelle femmes – hommes
- La mise en place du 3919 et un site arretonslesviolences.gouv.fr
- Le renforcement de l’arsenal juridique (délit d’outrage sexiste)
- La mise en place d’une plateforme anti-discrimination
- Un outil concret, susceptible d’orienter et de recueillir la parole des victimes, afin qu’elles puissent faire valoir leurs droits : conseil juridique, orientation et accompagnement adapté sont proposés.
- Un numéro, 3928, et un site antidiscriminations.fr
L’accompagnement de la petite enfance à l’entrée sur le marché du travail pour toutes et tous
- Par l’éducation
- l’obligation de scolarisation dès 3 ans ;
- le dédoublement des classes en REP et REP+ ;
- le développement et le renforcement des Cordées de la réussite ;
- l’augmentation du nombre d’internats d’excellence ;
- le dispositif « Devoirs faits » ;
- les « vacances apprenantes » et les « colonies apprenantes ».
- Par la réforme de l’accès aux concours de la fonction publique, qui a pour objectif d’intégrer davantage de
jeunes vers les voies de la réussite de la fonction publique. - L’ouverture de places aux concours de cinq écoles de la haute fonction publique (ENA, INET, EHESP, ENAP,
ENSP) pour les élèves des classes préparatoires « talents du service public » ; - La rénovation entière du dispositif de classe préparatoire avec un label commun « Talents du service public » ;
- La création de 1 000 places supplémentaires de classe préparatoire « Talents du service public » accessibles aux
étudiants boursiers (passant ainsi à 1 700 places) ; - Le renforcement des aides financières accordées, avec le doublement de l’allocation aux boursiers à 4 000 €.
- L’aide pour les apprentis : grâce à la nouvelle aide à l’apprentissage, le nombre d’apprentis a augmenté de 16% en 2019 et 25% depuis 2018. En 2020, 500.000 contrats d’apprentis ont été signés.
L’accompagnement économique et social des plus précaires
- L’élargissement de la prime d’activité : augmentation du montant (hausse moyenne de 77€/mois) et du nombre de bénéficiaires (+6,5% en 2019)
- Le renforcement de la protection sociale pour tous :
- le reste à charge zéro pour les soins optiques, dentaires et auditifs ;
- l’augmentation de l’allocation adultes handicapés : de 91€ par mois au 1er avril 2020 ;
- depuis 2020, toute entreprise de plus de 20 salariés doit employer au minimum 6% de travailleurs handicapés.
- L’aide aux quartiers prioritaires de la ville, avec un plan de 3,3Md dédiés notamment aux emplois francs ou là la mise en place de 200 cités éducatives.
Pour les travailleurs précaires
- Une garantie de revenu minimale de 900 € net par mois pour plus de 400.000 bénéficiaires a été mise en
place. Elle est prolongée jusqu’en mai 2021. - Des aides exceptionnelles de solidarité ont été versées en mai, juin et novembre 2020, et l’allocation de
rentrée scolaire a été revalorisée (aide totale de 1 200 € pour une famille au RSA avec 3 enfants). - L’aide alimentaire a été renforcée, avec notamment la mise en place de chèques alimentaires pour les
personnes sans-abri.
Pour les étudiants
Particulièrement touchés par la crise, les étudiants font l’objet d’une attention particulière et de
dispositifs uniques :
- Une aide d’urgence de 500 € pour tous les étudiants en difficultés ;
- Des repas à 1€ dans les restaurants universitaires pour tous les étudiants ;
- Un chèque psy financé à 100 % par l’État (pour 3 consultations)
Pour les salariés touchés par la crise
Des mesures de sauvegarde de l’emploi ont été mises en place dès le début de la crise, et se sont révélées
efficaces :
- Le chômage partiel dans tous les secteurs d’activité ;
- Le doublement des contrats aidés dans les quartiers prioritaires de la ville et les zones rurales ;
- Le déploiement du service public de l’insertion et de l’emploi ;
- L’extension des « Territoires zéro chômeurs de longue durée » (30 territoires en 2021)
Pour les jeunes en recherche d’emploi
- La Garantie Jeunes : La Garantie Jeunes s’adresse aux 16-25 ans sans emploi et sans formation. C’est un dispositif d’accompagnement des jeunes vers l’emploi, assorti d’une aide financière pour faciliter leurs démarches. Son succès est tel que le nombre de bénéficiaires en 2021 a été doublé par rapport à 2020, soit 200 000 places.
- Les conditions d’accès à la Garantie Jeunes ont été assouplies : critères de non-imposition, plafond de
ressources, durée de l’accompagnement, accès pour les jeunes handicapés, jusqu’à 30 ans.
Le plan « 1 jeune 1 solution » se décline en différentes mesures d’accompagnement :
Des aides à l’embauche (4 000 €, avec compensations de charge) et à l’apprentissage (jusqu’à 8 000 € pour les
majeurs) ;
Des missions de service civique supplémentaires (100.000) ;
Des formations adaptées et d’avenir, pour les jeunes avec ou sans qualifications.