« Ces séparations subies sont autant de souffrance, de désespoir parfois, d’histoires de père ou de mère qui ne peut revoir ses enfants, de futur parent qui ne peut être aux côtés de sa conjointe enceinte, de réunion familiale avortée autour d’un projet de mariage. Ceci alors même que les couples mariés ou pacsés peuvent eux circuler, sous réserve de respecter les normes sanitaires. Il y a là deux poids, deux mesures qui n’ont aucune raison juridique d’être. […] Aujourd’hui, nous devons leur apporter une réponse humaine à une situation qui ne l’est plus. »
Avec 13 de mes collègues, j’interpelle le Premier ministre Jean Castex sur la situation des couples non-mariés et non-pacsés séparés par la crise. Nous plaidons pour qu’une solution leur soit rapidement trouvée.