📍Face au nouvel impérialisme 🇷🇺, j’ai plaidé que « soutenir la résistance 🇺🇦, c’est défendre les intérêts de la 🇫🇷 et des 🇫🇷 »
📍 »Il est temps de se préoccuper de cette guerre qui frappe à notre porte. Faute de quoi, c’est la guerre qui s’occupera de nous ! »
📍J’ai notamment insisté sur le fait que soutenir l’Ukraine « dépasse largement le cadre des valeurs partagées pour s’ancrer dans une stratégie de préservation et d’affirmation de nos intérêts », dans le domaine sécuritaire, bien sûr, mais aussi diplomatique et économique.
📍Je me félicite d’un débat parlementaire clarificateur qui place chacun devant ses responsabilités. Il était temps de déconstruire les billevesées et inepties proférées par les extrêmes de l’hémicycle », lesquelles « servent la soupe de Poutine », aveuglées par leur « détestation idéologique de l’OTAN, des Américains, de l’Europe et des Européens ».
📍J’ai rappelé qu’en 2014 Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon déploraient de concert l’annulation de la livraison de deux porte-hélicoptères Mistral français à la Russie, à la suite de son implication dans l’annexion de la Crimée et la guerre du Donbass. La présidente du groupe Rassemblement national avait d’ailleurs jugé incontestables les résultats du référendum sur l’annexion de la Crimée en 2014. En 2022, celle qui partage une proximité idéologique évidente avec Poutine proposait encore une alliance politico-militaire de la France avec la Russie.
✅ Si « la France doit soutenir le camp de la paix », j’ai la conviction qu’une paix durable doit être juste et nécessite, en conséquence, d’apporter aux Ukrainiens « l’aide militaire qu’ils attendent » afin qu’ils puissent préalablement « modifier le rapport de force sur le terrain en leur faveur », avant toute négociation.