La semaine dernière, je me suis rendue à l’invitation du député Denis Masséglia au parc oriental de Maulévrier, près de Cholet. L’occasion d’échanger sur le maintien de nos liens culturels avec le Japon, avec le co-fondateur de la Japan Expo Thomas Sirdey, le directeur du parc Alain Caillé et le maire de Maulévrier Dominique Hervé. Ce genre d’initiatives privées, en France comme à l’étranger, est essentiel pour nouer des relations au delà des programmes institutionnels et diplomatiques classiques. 

Un lieu de rencontre entre nos deux cultures

Le parc est reconnu comme étant le plus grand parc d’inspiration japonaise en Europe. Il s’agit d’un espace magnifique, inspiré de la période EDO (début XVIIème siècle à fin XIXème au Japon), et qui se veut un espace de rencontre entre les cultures française et nipponne.

Plus qu’un parc, c’est un lieu d’exposition, d’éducation, de recherche et de réseau pour tous les acteurs de la relation culturelle entre nos deux pays. Il est complété d’un salon de thé, d’une pépinière, et d’un jardin de bonsaï.

Une association vient d’y être créée, dont l’objectif est la mise en place d’un réseau européen des jardins japonais afin de fédérer les 300 sites recensés sur notre continent.

Un parc en plein développement 

La fréquentation du parc ne cesse de croitre, et son directeur attend 200 à 250.000 visiteurs annuels d’ici 10 ans. Le parc de Maulévrier représente un intérêt touristique majeur pour la région.

Il ne dépend pourtant d’aucun financement public, tenant à garder toute sa liberté. Il a besoin pour se développer de conclure des partenariats, de trouver de nouveaux mécènes. Idéalement, des entreprises japonaises, des entreprises françaises ayant une activité au Japon ou encore des amoureux du pays du soleil levant pourraient être intéressés pour tisser de nouveaux partenariats avec ce parc.

Si vous désirez plus de renseignements, n’hésitez pas à visiter le site du parc www.parc-oriental.org, ou à me contacter par mail: anne.genetet@assemblee-nationale.fr.

Merci aux dirigeants du parc et au député Denis Masséglia pour cette belle découverte.